Arrêté le 1er février par le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et accusé d’agressions sexuelles et d’administration de substance délétère sur cinq femmes, Samuel Moderie, 28 ans, pourrait avoir fait 10 victimes additionnelles.
Alors qu’on avait initialement retenu 13 cooks d’accusation contre lui, le résident de Saint-Zotique a depuis été accusé de 33 cooks d’accusation additionnels après que d’autres victimes aient porté plainte contre lui. L’accusé devra répondre d’un complete de 46 accusations. En plus des agressions sexuelles alléguées, il aurait aussi commis des infractions liées au voyeurisme, au vol de biens et à la possession de drogues.
Rappelons que les policiers avaient, après avoir procédé à l’arrestation de Samuel Moderie, au début février, indiqué lors d’une conférence de presse être à la recherche d’autres victimes potentielles qui auraient pu croiser son chemin.
Selon les autorités, l’homme aurait utilisé des websites de rencontre comme Tinder pour piéger ses victimes. Il se serait rendu à leur domicile et leur aurait administré de la drogue. Une fois ces dernières inconscientes, il les aurait agressées sexuellement avant de dérober leurs biens. Plusieurs femmes auraient été filmées à leur insu au cours de ces viols allégués, d’après les autorités.
De tels événements se seraient produits à Montréal, McMasterville et Saint-Jérôme, selon le SPVM. Samuel Moderie a été arrêté grâce à un effort collectif des enquêteurs de la Part des agressions sexuelles SPVM, de la Régie intermunicipale de& police Richelieu-Saint-Laurent, du Service de police de Saint-Jérôme et de la Sûreté du Québec.
Puisque plusieurs victimes sont impliquées dans cette affaire, la construction de gestion des enquêtes sur les crimes en série (GECS) avait été mobilisée.
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