L’année 2021-2022 représente le recul de vente d’alcool le plus essential depuis la dernière décennie et constitue la première baisse depuis 2013-2014, selon les données de Statistiques Canada. Chiffrée en quantity, la vente de boissons alcoolisées a diminué de 1,2% en 2021-2022, ce qui équivaut à three 141 tens of millions de litres, ou 9,5 boissons commonplace par semaine par personne qui a l’âge légal de boire de l’alcool.
Les ventes de vin ont connu une chute drastique de four% pour l’année 2021-2022, pour s’élever 516 hundreds of thousands de litres. Il s’agit du plus bas complete de ventes enregistré depuis 1949, année où Statistique Canada a commencé à compiler des données sur le sujet. Bien que la bière demeure la boisson alcoolisée préférée des Canadiens, elle a également connu sa plus forte baisse de ventes depuis 1949, avec 2,eight%. Cela correspond à 2 061 hundreds of thousands de litres.
Cependant, cette baisse de vente ne s’est pas nécessairement traduite par une baisse de revenus pour les administrations publiques fédérales et provinciales, puisque l’inflation a augmenté la valeur des produits alcoolisés de 2,eight% l’an dernier. À ce titre, les ventes de vin s’élèvent à 26,1 milliards de dollars, soit une hausse de 2,four% par rapport à l’année précédente. Pour la bière, les régies des alcools, leurs agences et autres factors de vente au détail ont fait état d’une diminution de zero,7%. Ce chiffre aurait pu être plus élevé sans l’inflation.
Quant aux ventes de cidre et de coolers, elles continuent d’augmenter, avec une croissance de 13,5% par rapport à 2020-2021, sur l’ensemble du territoire canadien.
En janvier dernier, le Centre canadien sur les dépendances et l’utilization de substances a publié une étude stipulant que toute consommation d’alcool est néfaste pour la santé et que la limite individuelle devrait être de deux verres requirements par semaine. L’étude recommandait de rendre obligatoire l’étiquetage sur les produits alcoolisés pour aider la inhabitants canadienne à mieux prendre conscience de sa consommation hebdomadaire et, par conséquent, potentiellement la réduire.
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