Les buveurs de cafés sont nombreux à avoir adopté les établissements dits de 3e vague, offrant des produits caféinés de qualité& à un prix supérieur.& Eh bien, une quatrième obscure& se pointe à l’horizon.& Métro& explique remark un café latté peut coûter jusqu’à 10$!&
Le café fait des vagues&
Pour bien saisir l’engouement, il faut d’abord comprendre quelles sont ces fameuses vagues caféinées.& &
Le café 1ère& obscure est le café le plus easy. Apparu au début des années 1900, il est bu avant toute selected pour son caractère stimulant. C’est un outil. Les soldats des deux guerres mondiales le buvaient avant d’aller au fight et ont continué à populariser sa consommation par la suite. C’est maintenant un café d’épicerie. C’est la moins bonne qualité sur le marché, mais il «fait la job» pour nous réveiller.&
Le café 2e& obscure est arrivé dans les années 1970 avec l’apparition des chaînes comme Starbucks qui ont proposé une meilleure qualité de grain. La machine expresso permet la création de café courtroom et de ses déclinaisons, le cappuccino ou le latté par exemple. Il y a plus de raffinement dans la préparation. Le café est maintenant consommé pour le plaisir. C’est un moyen de se gâter.&
Le café threee& obscure, quant à lui, a vu le jour au début des années 2000. Le café devient un artwork. Les propriétaires de café s’intéressent à tout le processus de manufacturing du café, de la provenance des grains à la façon minutieuse de l’infuser en passant par la torréfaction, souvent artisanale et locale.&
Il n’y a pas encore de consensus sur la définition de la foure& obscure.& Les propriétaires de café& affirment que& la science ou l’artwork du café threee& obscure& ont& atteint un autre niveau, que sa complexité& est minutieusement étudiée, que les méthodes d’infusion se& multiplient, que le& crema& est& presque devenu& une faith. Les torréfacteurs, eux,& disent améliorer& encore plus les circumstances de manufacturing, en achetant& les grains& à la supply et en faisant preuve d’une& totale transparence.& Le tout nous donne droit à des cafés toujours plus locaux, équitables et, disons-le,& divins.&
Pourquoi ce buzz?&
Dominic& Drouin, propriétaire du Caffè In Gamba, premier café threee& obscure à Montréal, ouvert en 2007, travaille dans le milieu caféiné depuis 2000. Il a été témoin du 180 degrés dans les habitudes de consommation des caféinomanes. Il estime que l’intérêt pour le café threee& et foure& vagues s’inscrit, comme d’autres tendances culinaires observées au Québec, dans une recherche d’une plus& grande& qualité en matière de saveurs.&
«Les gens apprécient le goût et sont prêts à payer davantage pour un produit de meilleure qualité. Si le produit est meilleur, c’est regular pour eux de payer plus cher. Et une fois goûté, c’est difficile de revenir en arrière.»
La route vers le 10$&
À certains endroits, comme au In Gamba, le coût de certains cafés peut maintenant atteindre 10$!& C’est en& grande& partie à trigger du changement dans les& habitudes& de consommation des shoppers qu’on en est rendu là.& &
D’abord, le changement de lait, du lait classique, au soya, à l’amande, au coco et maintenant à l’avoine et sans lactose.& &
«Quand j’ai acheté le In Gamba, on ne vendait presque pas de lait d’avoine. Maintenant, c’est la folie furieuse. C’est la tendance la plus intense que j’ai vue dans le monde du café en termes de changement d’habitude de consommation en 20 ans de carrière», indique Dominic Drouin.
Le lait d’avoine coûte beaucoup plus cher que le lait régulier. Le In gamba cost un additional de zero,75$.
Deuxième changement: l’avènement des cafés sucrés, moka, latté caramel, and so forth. Ce phénomène vient de la transition des gens entre les cafés 2e obscure et threee obscure qui veulent retrouver ces choices, populaires dans les cafés de grandes chaînes, dans leur nouveau café. Les propriétaires de cafés threee obscure qui n’offraient pas ces choices auparavant doivent s’adapter à la demande. Pour concorder avec la qualité de leur café, ils prennent par exemple les meilleurs caramels possibles, des produits qui sont souvent artisanaux et donc coûteux.
Autre effet de cette transition d’une obscure à l’autre,& Dominic& Drouin explique qu’il se fait maintenant demander des cafés plus grands, les cafés threee& obscure n’offrant habituellement qu’un format de 10 onces. Il faut ajouter des& photographs& d’espresso, ce qui ajoute au prix forcément.& &
Tous ces extras s’additionnent. Un latté coûte 5$. Si on ajoute l’additional pour le lait spécial, le caramel, la taille plus& grande& et qu’on le veut décaféiné, il revient, au In Gamba, à 9,45$. Lorsqu’on ajoute le pourboire, c’est plus de 10$ pour un café. Et le propriétaire guarantee que ce style de commande est de plus en plus fréquente!&
Consideration aux imposteurs!&
Certains établissements profitent& de la popularité croissante des cafés de nouvelle obscure,& et& imitent& leur& joli design, l’ambiance, mais ne vendent pas des cafés d’aussi bonne qualité.& Il faut se renseigner sur les grains.&
Les signes d’un& bon café&
Pour savoir si on a affaire à de bons grains, et non à une imitation, il est conseillé de se renseigner sur le torréfacteur.
«Quand on fait affaire avec un microtorréfacteur ou un torréfacteur artisanal, on sait généralement que le produit de base est un produit de bonne qualité », indique Dominic Drouin.
Il faut aussi vérifier s’il y a une date sur l’emballage. « Quand on regarde les emballages de café en grain vendu au détail, si la date de torréfaction est écrite sur l’emballage, on sait qu’on fait affaire avec des gens qui prennent au sérieux la qualité et la fraicheur. En épicerie, lorsque tu achètes un sac de café tu n’auras jamais la date de torréfaction sur l’emballage, seulement la date de péremption. Au In Gamba, on reçoit le café fraichement torréfié toutes les semaines. La date de torréfaction est écrite sur chaque emballage. Le café doit être consommé dans le mois suivant la date de torréfaction.»
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