Cette semaine, l’équipe de Métro a écouté les derniers albums de Piers Faccini, Andrea Lindsay et Echoes From Jupiter.
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People métissé Piers Faccini I Dreamed An Island Observe:  |
Alors que la tendance semble être à la development de murs le lengthy des frontières, Piers Faccini chante sur une musique entraînante : «Deliver down the wall, break it… Stone by stone!» Le prolifique artiste britannique d’origine italienne, qui vit en France, s’est inspiré pour cet album de la Méditerranée et des diverses cultures qui ont vécu, au fil des siècles, en périphérie de cette mer située au croisement de trois continents. Sur cette île rêvée par l’artiste se trouvent 10 superbes pièces people aux influences métissées et au son raffiné, formant un album d’une grande richesse. – Marie-Lise Rousseau
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Jazzy Andrea Lindsay Entre le jazz et la java Notice: •••½ |
Andrea Lindsay a créé un opus rempli de bonheur et de joie de vivre (peut-être est-ce parce qu’elle était enceinte pendant l’enregistrement?). Dès les premières notes, on est conquis par sa douce voix joyeuse et ses airs jazzy. Sur ce disque, elle reprend des chansons de Serge Gainsbourg, de Diane Inform et même de Boris Vian. Elle n’offre cependant qu’un titre unique, Growth Goes My Coronary heart, qui est aussi la seule chanson en anglais de l’album. À mettre dans le lecteur CD quand on a une mauvaise journée. – Virginie Landry
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Atmosphérique Echoes From Jupiter Kosmonavt Notice: ••• |
Kosmonavt est un album instrumental. Il n’y a aucune parole. Ceci dit, les étonnantes ambiances musicales créées valent la peine d’y prêter l’oreille. Le rock expérimental/alternatif du groupe de Québec est quasi-méditatif. La construction des chansons ressemble à celle de l’album entier : on begin en douceur, laissant planer des sons de claviers atmosphériques. Ensuite, on punche avec de la grosse guitare et de la basse bien sentie. À consommer les yeux fermés pour en apprécier les subtilités. – Virginie Landry
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