Sidney Crosby et Connor McDavid se disputent la suprématie de la LNH.
Ce duel, avec sans doute les trophées Artwork Ross et Hart à l’enjeu à la fin de la saison, est trop serré pour prédire qui en sortira vainqueur, même s’il faut probablement favoriser le capitaine des Penguins de Pittsburgh.
McDavid, pour commencer, a répondu aux attentes élevées à sa deuxième saison dans la LNH. Il est en tête des marqueurs avec 39 factors à ses 31 premiers matchs. Il a haussé sa moyenne de 1,07 level par match à sa saison recrue à 1,26 avec les Oilers, sa manufacturing à égalité numérique (passes et factors) ainsi que son temps de possession de la rondelle (55 pour cent).
Le hockeyeur de 19 ans, qui est l’un des plus jeunes joueurs de la ligue, est tout simplement formidable.
Mais Crosby demeure encore au sommet, comme en témoigne son incomparable année 2016. Depuis le 1er janvier, Crosby a dominé la ligue avec 89 factors en seulement 66 matchs (1,35 par match), devançant son plus proche rival (Patrick Kane) de 11 factors même s’il a disputé sept matchs de moins. Il vient aussi en tête de liste avec 47 buts pendant cette période, dont un sommet du circuit de 20 buts en 22 matchs cette saison, avant le match de lundi soir.
Crosby, même s’il a commencé sa saison deux semaines plus tard, occupe le quatrième rang au classement des marqueurs (31 factors) et le premier avec 1,41 level par match. Les Penguins ont créé 63 pour cent de leurs events de marquer (à cinq-contre-cinq) quand leur capitaine est sur la glace, un sommet parmi les attaquants de la ligue (minimal de 10 matchs).
DES ÉTOILES EN DEVENIR
Ils n’ont pas réussi à se hisser parmi le top-5 au premier décompte du scrutin des étoiles, mais ces joueurs (deux dans chaque part) méritent quelques votes si la tendance se maintient:
Devan Dubnyk (Centrale): Qui pourrait prétendre que Dubnyk, et non Carey Worth, a été le meilleur gardien de la ligue cette saison. Le gardien du Wild du Minnesota mène la ligue avec un taux de tirs-arrêts de 94,6 pour cent — 95,5 à égalité numérique — une moyenne de 1,63 et quatre jeux blancs.
Mark Scheifele (Centrale): La manufacturing de Scheifele est en hausse à chaque saison depuis qu’il a gradué pour de bon en 2013, de 34 factors à sa saison recrue à 49 à sa deuxième (plus-15) et à 61 l’année dernière (plus-11). L’attaquant des Jets maintient actuellement un rythme — 28 factors en 29 matchs — qui pourrait lui permettre de récolter 15 factors de plus cette année.
Nikita Kucherov (Atlantique): En voie de réussir des sommets dans toutes les catégories offensives, Kucherov a récolté 13 buts et 30 factors (20 à égalité numérique) en 28 matchs avec le Lightning de Tampa Bay.
David Pastrnak (Atlantique): L’attaquant des Bruins de Boston a déjà atteint un sommet personnel avec 18 buts en 24 matchs et il l’a fait en moitié moins de temps que la saison dernière — 15 buts en 51 matchs. Le joueur de 20 ans, avec ses 24 factors, éclipsera bientôt les 27 factors obtenus à son année recrue.
Brandon Saad (Metropolitaine): Jouant principalement aux côtés de Nick Foligno et Alexander Wennberg à Columbus, Saad a totalisé 22 factors (tous à égalité numérique) et son taux de possession de la rondelle se situe à 57 pour cent en 26 matchs. Le joueur de 24 ans est en voie d’améliorer son sommet personnel de 53 factors l’année dernière.
Wayne Simmonds (Metropolitaine): Très souvent ignoré comme marqueur, Simmonds bataille avec Crosby, Pastrnak et Patrik Laine des Jets pour le premier rang des buteurs de la LNH. Il en totalise actuellement 15 en 30 matchs. Ses huit buts en avantage numérique avec les Flyers constituent un sommet dans la LNH et, depuis 2011, seul Alex Ovechkin en a marqué davantage.
Chad Johnson (Pacifique): Les Flames étaient à la recherche d’un nouveau no 1 pour régler leurs problèmes devant le filet, mais ils ne pensaient pas à lui. Originaire de Calgary, Johnson a supplanté Brian Elliott comme titulaire. Sa fiche s’établit à 13-Four-1, avec trois blanchissages, un taux de tirs-arrêts de 93,2 pour cent et une moyenne de 1,98 jusqu’ici.
Leon Draisaitl (Pacifique): Draisaitl joue dans l’ombre de McDavid, mais il est devenu un élément necessary dans la formation des Oilers. La manufacturing à forces égales du joueur de 21 ans est similaire à son impressionnante première campagne l’an dernier. Ce qui a changé, c’est sa contribution en avantage numérique. Draisaitl a déjà 11 factors, un sommet personnel, et 26 factors au complete en 31 matchs.
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