Un mois après son lancement le mois dernier, la plateforme de réalité virtuelle Daydream de Google s’apprête à passer en vitesse supérieure, avec l’arrivée aujourd’hui d’une seconde vague de logiciels compatibles. Aperçu du casque et de son écosystème, un mois après son lancement.
Qu’est-ce que Daydream
Daydream est une plateforme de réalité virtuelle lancée par Google cet automne. Contrairement à l’Oculus Rift ou au HTC Vive, où l’écran et plusieurs composantes évoluées sont intégrés dans un casque directement, il s’agit d’une plateforme cellular, où la réalité virtuelle est propulsée par un téléphone clever qu’on insère dans un casque easy.
Plusieurs fabricants pourront éventuellement lancer leur propre casque Daydream, mais pour l’on the spot, le seul appareil suitable est celui fabriqué par Google directement. La visionneuse est confortable, avec un recouvrement en tissus, et s’installe facilement sur la tête avec une seule bande élastique. Celui-ci est accompagné d’une petite télécommande easy, mais efficace, qui augmente considérablement le potentiel de la plateforme par rapport aux autres applied sciences de réalité virtuelle cellular, comme Cardboard ou Samsung Gear VR.
Pour l’on the spot, seuls les téléphones Pixels de Google sont compatibles avec Daydream. Le Moto Z de Motorola sera aussi suitable avec Daydream, lorsqu’il aura reçu une mise à jour logicielle.
Une deuxième obscure d’purposes
Lors de son lancement le mois dernier, la plateforme Daydream avait bien peu de contenu à offrir aux utilisateurs. Un mois plus tard, pressure est de reconnaître que la state of affairs s’est grandement améliorée, avec une quarantaine de jeux et d’purposes offerts dans la boutique Google Play.
Quelques jeux particulièrement intéressants arrivent dans la boutique aujourd’hui même. Du lot, celui qui risque de connaître le plus grand succès est sans doute Gunjack 2 : End of Shift du développeur CCP. Situé dans l’univers de Eve On-line, Gunjack 2 nous permet d’incarner un travailleur d’un immense vaisseau spatial, qui doit abattre différents attaquants à partir d’une tourelle de défense.
Gunjack 2 est fluide, et l’ajout du contrôleur Daydream rend l’expérience à la fois intuitive et immersive. Un titre qui vaut son prix quand même élevé de 16,99$.
J’ai aussi apprécié LEGO Brickheadz, un jeu de Lego unique, qui demande à la fois d’assembler des pièces et de relever des défis avec de petits personnages animés. Le titre est amusant, mais son esthétique enfantine est discutable, surtout que la technologie est réservée aux personnes de 13 ans et plus.
Dans un autre style, Underworld Overlord est un jeu de sort Tower Protection plutôt sympathique, qui profite toutefois peu des avantages de la réalité virtuelle. Layers of Worry est finalement un jeu d’horreur, probablement l’un des genres qui sied le mieux à la technologie. Malheureusement, quelques pépins methods m’ont empêché d’avancer suffisamment dans le jeu pour m’en faire une idée.
Parmi les purposes déjà offertes sur la plateforme qui valent la peine d’être essayées, notons ARTE360 VR, une assortment de movies francophones à 360 degrés (ce qui est assez uncommon) et Guardian VR, qui offre des expériences plus cérébrales.
D’autres purposes sont attendues prochainement, comme Netflix et Nead For Velocity VR, un jeu où la qualité graphique n’est pas tout à fait au rendez-vous, mais où l’motion et la fluidité devraient plaire aux amateurs du style.
Notons que Google profite dans certains pays de l’arrivée de cette seconde obscure d’purposes pour lancer un nouveau modèle de visionneuse Daydream, en rouge, mais que seul le modèle gris est offert pour l’instant au Canada, à 99$.
Comments