OTTAWA — Les mother and father d’enfants dont les noms s’apparentent à des individus qui font l’objet d’une interdiction de vol aérien estiment que l’aide que leur a apportée le gouvernement fédéral jusqu’à maintenant leur a été peu utile, et exhortent Ottawa à en faire plus pour éviter qu’ils continuent à être retenus à l’aéroport.
Le problème semble persister alors que les libéraux ont promis de mettre en place une answer permanente, soit celle de réviser intégralement le système d’interdiction de vols pour rectifier les erreurs qui s’y sont glissées.
L’entrée en vigueur de ce système révisé n’est toutefois prévue que dans au moins 16 mois. Les voyageurs dont les noms ressemblent à ceux se trouvant sur la liste pourront éventuellement obtenir un numéro d’identification distinctive.
Les mother and father de dizaines d’enfants ont été aux prises à d’éreintants retards dans les aéroports puisque les noms de ceux-ci correspondent à ceux qui figurent sur les listes de sécurité aérienne.
En juin, le gouvernement fédéral a annoncé que le Bureau des demandes de renseignements du Programme de safety des passagers (BDRPPP) allait venir en aide aux familles qui expérimentent ce style de problèmes.
Les principaux concernés font toutefois toujours face à ces mêmes conditions, bien qu’elles aient communiqué avec le BDRPPP, a indiqué la porte-parole d’un groupe réunissant plusieurs mother and father mécontents, No Fly Listing Youngsters, Khadija Cajee.
Mme Cajee, une résidante de Markham, en Ontario, soutient n’avoir, jusqu’à maintenant, reçu qu’une lettre de la half du BDRPPP un mois après lui avoir fait half des problèmes auxquels elle est confrontée. Le même type a été réservé à quatre autres familles, affirme-t-elle.
«Jusqu’à maintenant (la promesse du gouvernement) ne s’est répercutée en aucun avancement pour chacun d’entre nous», a ajouté celle dont le fils de sept ans, Adam, a été retenu à l’aéroport, il y a deux semaines.
En réponse, un porte-parole du ministère de la Sécurité publique, Jean-Philippe Levert, guarantee que le gouvernement s’affaire à résoudre l’ensemble des demandes family members aux erreurs d’interdictions de vols, ajoutant qu’un «petit échantillon de cas n’est pas nécessairement représentatif de tous les développements».
Il a précisé que quatre employés gouvernementaux —un gestionnaire et trois analystes— doivent prendre en cost tous les cas reçus, en plus d’effectuer d’autres tâches. Aucun échéancier pour la résolution de chaque demande n’ a été établi, a ajouté M. Levert, précisant que les plaintes varient les unes des autres «sur le plan de la complexité».
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