Guidée par les principes d’équité, d’impartialité et de transparence, la Commission de la fonction publique de Montréal (CFPM) a pour mandat de traiter les plaintes kin au processus de dotation et de gestion de la main-d’œuvre de la Ville de Montréal. L’organisme public indépendant, qui poursuit sa mission depuis sa création, en 1944, demeure méconnu au sein de la inhabitants.
« Je suis en poste depuis un an maintenant et un des premiers constats que j’ai fait à mon arrivée est que la Fee était peu connue. Même des employés à l’interne de la Ville de Montréal », observe la présidente de la CFPM, Isabelle Chabot, CRHA.
Le constat est d’autant plus frappant à l’externe.
« Un des principaux objectifs est que les gens puissent savoir qu’ils ont un recours en vertu de la Charte de la Ville de Montréal, par laquelle la Fee est encadrée. »
Élaboré avec l’experience de juristes, le processus de traitement des plaintes est neutre et rigoureux. La CFPM prend en cost la réception et l’analyse de toute demande de recours déposée en lien avec une étape d’un processus de recrutement tel que présélection, entrevue, check, nomination and so forth.
Une personne ayant postulé à la Ville pourrait, par exemple, déposer une plainte si elle estime avoir des motifs de le faire. Dans le cas où la plainte serait considérée recevable, elle ferait l’objet d’une enquête.
« La Fee, son rôle est de s’assurer que les règles en matière de dotation et de gestion de la main-d’œuvre sont appliquées de façon juste et équitable pour tous. En outre, le conseil municipal peut donner des pouvoirs additionnels à la Fee, dont celui d’émettre des recommandations aux unités administratives sur ce qu’elle juge pertinent dans son champ d’experience », souligne Mme Chabot.
En constante évolution
La mission de la CFPM s’appuie sur quatre valeurs essentielles: la compétence, l’équité, l’impartialité et la transparence.
« Smart aux enjeux de diversité et d’inclusion, la Fee dévoilera cet été les résultats d’une étude portant sur les freins à la development de carrière réalisée auprès des employés de la Ville, annonce la présidente. On veille à ce que le processus de traitement des plaintes ne présente aucun biais, que ce soit par rapport aux femmes, aux personnes racisées, autochtones, handicapées ou appartenant à un groupe identifié. »
La Fee proposera sous peu une révision de sa réglementation au conseil municipal. Si elle est endossée, les gens auront de nouveau la possibilité d’effectuer les plaintes de manière confidentielle, ajoute Mme Chabot.
La CFPM est un organisme de surveillance indépendant de l’administration municipale prévu à la Charte de la Ville de Montréal. En plein contexte pandémique, la Fee a reçu 33 plaintes et procédé à 19 enquêtes dans un délai moyen de 45 jours ouvrables correspondant à la cible visée, témoigne le rapport annuel 2020 présenté en avril.
Informations: www.https://cfp.montreal.ca
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