L’entreprise d’immobilier social Gérer son quartier fête 5 années de logements abordables à son complexe d’habitations Le Domaine, dans le quartier Longue-Pointe.
L’anniversaire a été célébré en présence du député de Bourget Richard Campeau, du maire de l’arrondissement Mercier–Hochelaga-Maisonneuve, Pierre Lessard-Blais, et de Michel Taylor et Édith Cyr, respectivement président et directrice générale de Bâtir son quartier (l’entreprise chapeautant Gérer son quartier).
L’entreprise d’économie sociale a profité de l’event pour planter 500 végétaux qui viendront verdir et contribuer à réduire les îlots de chaleur dans son parc immobilier, lequel abrite présentement près de 2000 locataires.
Développer de nouveaux logements sociaux et communautaires et préserver ceux existants est necessary dans ce contexte de crise du logement et de surchauffe immobilière.
Édith Cyr, directrice générale de Bâtir son quartier
«Le gouvernement, quand il met de l’argent dans le logement communautaire ou social, c’est de l’investissement à lengthy terme parce qu’il y a des économies en santé [et] qu’on permet aux gens de se prendre en cost. C’est une communauté qui se met en marche en répondant à des besoins, mais ça va plus loin que ça», explique la directrice générale.
Elle précise d’ailleurs que le domaine tisse plusieurs liens avec la communauté de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, entre autres en tenant un jardin pédagogique pour les enfants de l’école avoisinante et en offrant des logements pour les jeunes femmes enceintes désirant retourner aux études ou pour des personnes en state of affairs d’itinérance désirant s’établir, en partenariat avec Mission Previous Brewery et La maison du père.
Croître malgré la surchauffe immobilière
« On veut acheter des terrains pour continuer le projet, mais c’est sûr que le marché est difficile. On [continue] a démontré que c’est necessary d’investir dans le communautaire et que ce n’est pas nécessaire de détruire des logements et faire des rénovictions pour être rentables», a déclaré la directrice de Gérer son quartier, Marika Leclerc, qui ajoute que l’organisme, contrairement à une tendance observée à Montréal, «rénove ses logements pour garder les familles, par pour les faire partir».
Ce projet a été financé grâce aux contributions du Fonds de solidarité FTQ, de la Fondation Lucie et André Chagnon, de la Caisse Desjardins et de la Société canadienne d’hypothèques et de logement.
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