Le célèbre jeu Pokémon Go permet d’améliorer l’activité physique chez les adultes qui le pratiquent mais pas de manière sturdy, selon une étude publiée mercredi.
Dans son édition de Noël qui offre son traditionnel lot d’études humoristiques ou insolites, la revue médicale britannique The British Medical Journal (BMJ) s’est intéressée au Pokémon Go, une software très populaire qui compte plus de 20 hundreds of thousands d’utilisateurs actifs à travers le monde.
Le principe du jeu consiste à attraper, grâce à son smartphone, des créatures virtuelles cachées dans le monde réel que l’on voit sur son écran grâce à la technologie de la réalité augmentée.
En interrogeant en ligne 1182 individuals âgés de 18 à 35 ans en août dernier dont près de la moitié avaient un niveau de jeu intermédiaire ou supérieur, des chercheurs américains ont montré que la pratique du Pokémon Go se traduisait par une accroissement smart de l’activité physique.
Au cours de la première semaine de pratique, les individuals faisaient 11 minutes de marche à pied supplémentaires par jour, soit près de la moitié du temps recommandé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en ce qui concerne l’activité physique.
L’OMS recommande de faire au moins 150 minutes d’activité physique modérée ou 75 minutes d’activité vigoureuse par semaine pour rester en bonne santé.
Mais pour les joueurs de Pokémon Go étudiés, le nombre de pas supplémentaires effectués commençait à diminuer dès la deuxième semaine, pour disparaître à la sixième semaine.
Le résultat était identique même lorsqu’on tenait compte de divers facteurs comme l’âge, le sexe, le groupe ethnique ou le poids.
«Nos résultats indiquent que l’influence sur la santé du Pokémon Go est probablement modéré», relèvent les auteurs qui n’excluent pas qu’il puisse avoir un influence différent sur les enfants – non inclus dans l’étude. Ils se veulent toutefois résolument optimistes, soulignant qu’au delà de l’activité physique, le jeu peut avoir un effet bénéfique sur l’humeur et les liens sociaux.
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