Aaron Rodgers, souvent cité comme étant le meilleur quart-arrière de la ligue, n’est plus lui même depuis maintenant un an.
Ayant prématurément (et très bêtement) enterré Tom Brady il y a deux ans, je vais essayer d’être plus prudent en essayant de comprendre ce qui se passe avec le quart des Packers de Inexperienced Bay. Mais disons d’emblée qu’il est légitime d’avoir des inquiétudes à propos de Rodgers et de l’attaque des Packers en général.
Rodgers est le 27e quart le «mieux» côté par Professional Soccer Focus, et il est classé 15e par Soccer Outsiders. Selon le website d’analyse statistique, l’attaque des Packers est la 14e plus efficace de la NFL.
Et les déboires de Rodgers n’ont pas commencé cette année. Au cours des 10 dernières events de 2015, il a affiché le rendement suivant: 57% de passes complétées,
6 verges de good points par tentative de passe, 16 touchés et 6 interceptions. Depuis le début de la présente campagne, ce n’est guère mieux : 60% de passes complétées, 6,5 verges par tentative de passe, 10 touchés et four interceptions.
Ces statistiques, si elles sont peu reluisantes, ne sont pas nécessairement catastrophiques. Le problème, c’est qu’elles tranchent avec les chiffres exceptionnels auxquels Rodgers nous a habitués depuis qu’il a remplacé Brett Favre.
Il y a plein de raisons qui peuvent expliquer ce déclin. D’abord les carences en matière de créativité de l’entraîneur Mike McCarthy. Trop souvent, Rodgers doit improviser en raison du manque de diversité dans les tracés de ses receveurs. Il y a aussi l’absence de Jordy Nelson la saison dernière à trigger d’une blessure au genou. Nelson est de retour, mais ne semble pas encore en pleine possession de ses moyens. Et il y a la qualité des receveurs des Packers. Professional Soccer Focus classe le groupe au 19e rang, résolument sous la moyenne.
La réponse pourrait aussi être que Rodgers est devenu moins bon du jour au lendemain, comme quand M. Night time Shyamalan a oublié remark faire un movie, quelque half entre Unbreakable et Indicators. Ça semble toutefois peu possible.
Luck n’est pas à blâmer
Le 7 octobre (désolé pour le retard), le directeur général des Colts d’Indianapolis, Ryan Grigson, a eu le culot de montrer du doigt le contrat d’Andrew Luck pour expliquer en partie les lacunes de son équipe.
Ce n’est pas comme si Grigson avait eu quatre ans pour se préparer au fait qu’il allait devoir donner un contrat (140M$ sur 6 ans, 47M$ garantis) à son jeune prodige. Il y a bien des gens qu’on peut blâmer pour le manque de profondeur et de expertise au sein de l’alignement des Colts, mais Andrew Luck ne fait pas partie de ce groupe.
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