Les Colts prêts à entrer dans le 'Trou noir'

INDIANAPOLIS — De toute évidence, les Colts (7-7) sont bien à l’aise à l’étranger.

Indianapolis a gagné quatre fois de suite ailleurs qu’à la maison et par le rating combiné de 75-16, les deux dernières fois.

Avec des victoires à Inexperienced Bay et au Minnesota, ils ont compliqué les choses pour les Packers et les Vikings.

C’est le style de résultat en terre hostile qu’on veut obtenir dans le fameux ‘Trou noir’ à Oakland (11-Three), samedi.

À l’enjeu pour les Colts: mettre des bâtons dans les roues des Raiders, qui aimerait un laissez-passer jusqu’au deuxième tour, en éliminatoires, mais surtout conserver leurs propres possibilities de cheminer au-delà du 1er janvier, si minces soient-elles.

Même s’ils s’imposaient à Oakland, les Colts seraient éliminés si les Texans ou les Titans l’emportaient, samedi.

«Nous savons exactement où nous en sommes, a dit l’entraîneur Chuck Pagano. Nous avons une seule selected en tête et c’est d’aller chercher une victoire. Nous savons que le défi est grand, mais nous ne pouvons pas nous soucier de telle ou telle probabilité. Nous devons simplement être prêts à jouer.»

Depuis l’arrivée de Pagano comme entraîneur en 2012, les Colts ont toujours affiché une moyenne de ,500 ou mieux dans les stades adverses.

À la maison, c’est un peu différent, à tout le moins cette année.

En lever de rideau, les Colts ont perdu l’avance dans les 35 dernières secondes, permettant aux Lions de l’emporter. À la fin octobre, ils ont été corrigés par les Chiefs. Plus tôt ce mois-ci, ils ont laissé filer une belle event de prendre le contrôle de leur part, perdant contre Houston.

On espère prolonger la campagne automotive deux ans de suite sans éliminatoires, le membership n’a pas vécu ça depuis 1997 et 1998. Les Colts ont montré un file de Eight-Eight en 2015.

Les Colts ont signé la majorité de leurs good points en dehors du Lucas Oil Stadium, cette saison.

«Je ne saurais pas trop dire pourquoi c’est comme ça, a dit le botteur de dégagement Pat McAfee. Je pense que devenons propulsés par la mentalité de nous contre le reste de la planète.»