Il s’agit d’une nouvelle identité, qui vise à «redonner un nouveau souffle» à l’organisme de défense des droits des femmes handicapées. Si le nom change, le fight reste le même et demeure d’actualité, prévient l’affiliation anciennement connue sous le nom de Motion des femmes handicapées Montréal (AFHM).
À l’event de la journée internationale des personnes handicapées, AFHM a annoncé qu’elle devenait Motion Femmes et handicap (AFH).
Cette société se mobilise depuis 36 ans pour «la pleine participation citoyenne des femmes en state of affairs de handicap».
«Ce changement de nom symbolise le renouveau de notre organisme qui, au fil des années, est devenu une référence en matière de lutte pour les droits des femmes en state of affairs de handicap à Montréal, voire dans tout le Québec. Nous avons voulu à la fois revenir aux sources de notre engagement et ouvrir un nouveau chapitre: celui de la co-construction vers une société inclusive et tolérante des différences», a déclaré AFH.
Encore aujourd’hui, il n’y a aucun engagement concret du gouvernement à investir financièrement dans l’accessibilité des providers que nécessitent les femmes en state of affairs de handicap, qu’il s’agisse d’accès aux providers de santé, de leur state of affairs socio-économique ou de leur sécurité. L’amélioration de leur situation de vie n’existe donc au Québec qu’en théorie.
Motion Femmes et handicap (AFH).
Des initiatives gouvernementales à «portée limitée»
L’organisme déplore, après toutes ces années, le manque d’engagement de la half du gouvernement dans le développement de providers adaptés et accessibles aux femmes en state of affairs de handicap.
AFH revendique «la reconnaissance des spécificités de leurs circumstances lors d’élaboration de politique sociale».
«Depuis des décennies, nous revendiquons la mise en place de mesures concrètes pour améliorer la situation des femmes en state of affairs de handicap. À commencer par une documentation différenciée selon le style lorsqu’il est query des circumstances de vie des personnes en state of affairs de handicap. D’autant plus que, le peu de littérature disponible, ne laisse nul doute quant à la double discrimination vécue par les femmes en state of affairs de handicap», a déclaré l’affiliation.
Les phénomènes de violence mettent particulièrement en lumière la double discrimination que les femmes handicapées subissent selon AFH. D’après les chiffres d’un rapport du Réseau d’Motion des Femmes en state of affairs de Handicap du Canada (DAWN-RAFH Canada), seulement 10 % des femmes en state of affairs de handicap ayant sollicité un établissement pour femmes violentées ont reçu un soutien approprié.
AFH rappelle que ces dernières sont deux à trois fois plus susceptibles d’être victime de violence que leurs consœurs.
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