Les candidats à la présidentielle américaine Donald Trump et Hillary Clinton dominent l’espace médiatique. Mais ils sont loin d’être seuls dans la course… Voici le portrait de Jill Stein, meneuse des Verts américains, et de Gary Johnson, champion des libertariens.
Jill Stein
Le Parti vert des États-Unis a été fondé en 2001 et s’encourage de l’Affiliation of State Inexperienced Events, un regroupement d’organisations politiques militant pour l’environnement, la justice sociale, la non-violence, l’égalité des sexes, les droits LGBTQ et contre le racisme. Des propositions défendues par le candidat Bernie Sanders, qui a perdu les primaires démocrates face à sa rivale, Hillary Clinton.
Jill Stein, diplômée de Harvard en pédiatrie, est une professeure et une militante écologiste née à Chicago en 1950. Les slogans de Mme Stein sont principalement dirigés contre le Parti démocrate, qu’elle accuse d’usurper le principe de changement pour gagner des votes. Elle a aussi participé aux élections présidentielles de 2012, au terme desquelles elle a récolté zero,four% des votes.
Gary Johnson
Le Parti libertarien des États-Unis est plus vieux que le Parti vert et, pour les élections de cette année, plus populaire, surtout auprès des membres de la génération Y. «Quelque 17% de leurs partisans sont de jeunes électeurs», explique Steven Olikara, cofondateur du Millennial Motion Challenge (MAP), une organisation politique à however non lucratif comptant jeunes politiciens. Les libertariens croient au libre marché et accordent beaucoup d’significance aux libertés individuelles et à la propriété privée. Certains sont aussi en faveur de l’avortement et de la décriminalisation des drogues.
Gary Johnson, le candidat présidentiel libertarien, était le gouverneur républicain du Nouveau-Mexique, mais a quitté le parti, automotive il n’a pas récolté les appuis nécessaires pour être le candidat du parti lors de la présidentielle de 2012. Il s’est alors joint aux libertariens.
«Et c’est quoi, Alep?» –Gary Johnson, lors de l’émission Morning Joe du eight septembre, qui a admis ne pas connaître la ville au centre du conflit syrien. Quelques semaines plus tard, il a été incapable de nommer un seul chef d’État étranger pour qui il pourrait avoir de l’admiration, provoquant de nombreuses railleries sur les réseaux sociaux.

Comments