Quand le destin bascule et par les liens sacrés nous uni… Une fontaine, une supply inépuisable qui brûle et circule dans mes artères, et mes veines… C’est cet prompt béni qui nous réuni, un cœur tout neuf même quand il est usé, pour connaître le prix des larmes… Lorsque l’aimé te fuit, même l’amitié te quitte, pour faire place à l’indifférence… Pour les autres le soleil luit, toi tu préfères la nuit, les cash sombres pour cacher ta peine, ne pouvant plus murmurer le mot » je t’aime » les roses autour de toi s’alanguissent se dessèchent… Les souvenirs enfouis viennent doucement s’éteindre sur le rivage, la solitude fait place au silence, même les mots manquent…pour toi » aimé » des heures passaient sans mener le sommeil, j’ai compté des pas dans l’ombre… Pour toi peut importe leur nombres…
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