L’actrice Julie Le Breton sait qu’elle est privilégiée dans le milieu de la scène québécoise, mais ne souhaite pas «laisser sa place à quelqu’un d’autre», a-t-elle affirmé dimanche à Tout le monde en parle.
«Il y a un star-système au Québec qui fait que notre télé est regardée. J’en profite, je le sais, a-t-elle avoué. Il y a une espèce de discours qui dit qu’on devrait laisser la place aux autres qu’on voit moins souvent, mais je ne me vois pas arrêter pour laisser la place à quelqu’un d’autre.»
Venue à Radio-Canada pour présenter entre autres la nouvelle série Victor Lessard, présentée au Membership Illico, Julie Le Breton a dit que plusieurs personnes ont critiqué le fait qu’elle et Patrice Robitaille «jouent encore ensemble». «Il y a aussi plein de gens qu’on n’a jamais vus à la télévision et qui pourront se lancer grâce à ça», a-t-elle défendu.
«Avoir su que Julien Clerc était là, j’aurais mis une autre gown que la rose, parce qu’on va voir que je rougis. Dans la vingtaine, je trouvais que c’était le plus bel homme sur la Terre.» – Julie Le Breton
Pour cette série dans laquelle elle joue le rôle d’une policière très ferme, l’actrice a tenté de se changer physiquement. «Le personnage est différent que ce que j’ai déjà joué, a-t-elle soutenu. Quand je suis allé auditionner, j’ai mis des vêtements à mon copain pour me masculiniser un peu. Des bobettes de gars, ça a changé ma démarche, et j’ai aimé ça.» À son grand remorse, Julie Le Breton n’a pas eu le temps de prendre du poids ou de changer son physique, automotive elle était entre deux autres tournages.
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