Selon de nouvelles conclusions révélées dimanche par plusieurs médias, le département américain de l’Énergie soutient désormais la thèse voulant qu’une fuite dans un laboratoire en Chine soit à l’origine de la pandémie de COVID-19.
Selon des sources anonymes citées par le Wall Road Journal, le New York Occasions et CNN, de nouveaux éléments ont fait pencher l’analyse du département de l’Énergie vers cette hypothèse.
Ces médias soulignent cependant les divergences persistantes entre les différentes agences de renseignement sur la query et insistent sur le fait que cette nouvelle analyse est publiée «avec un faible niveau de confiance» par le département de l’Énergie, qui chapeaute lui-même plusieurs laboratoires.
Le Federal Bureau of Investigation (FBI), la police fédérale américaine, soutient lui aussi que la pandémie qui a tué près de 7 hundreds of thousands de personnes a été causée par une mauvaise manipulation au sein d’un laboratoire chinois.
Selon le Wall Road Journal, quatre autres agences de renseignement américaines estiment quant à elles que la COVID-19 est survenue par transmission naturelle, tandis que deux demeurent indécises.
«Pour l’immediate, aucune réponse définitive de la communauté du renseignement n’a émergé sur la query», a déclaré le conseiller à la sécurité nationale de la Maison-Blanche Jake Sullivan dimanche, sur les ondes de CNN.
Rappelons que tel que confirmé par son dirigeant, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, à la mi-février, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), poursuit sont enquête sur les origines de la COVID-19, entre autres pour être mieux équipée pour combattre ou même éviter une prochaine pandémie.
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