Une nouvelle boutique de vêtements de travail sur Notre-Dame

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Le propriétaire de la boutique, Louis Corriveau

Un magasin de vêtements de travail ouvre ses portes sur la rue Notre-Dame à Lachine. Le propriétaire de Coriboutik, Louis Corriveau, porte le flambeau de l’entreprise familiale fondée par sa mère.

Pour M. Corriveau, 52 ans, il était naturel d’ouvrir une boutique de ce style en raison de son expérience personnelle et professionnelle.

«J’ai grandi dans un magasin de linge de travail. Notre famille vivait à même la boutique.»

Avant de s’investir dans ce commerce familial, M. Corriveau a travaillé dans l’industrie du plastique durant trois décennies.

«J’ai fait un peu de tout pour plusieurs compagnies à Montréal. Vers la fin j’étais surtout dans la vente de pièces et d’équipement», précise M. Corriveau.

Coriboutik existait déjà sous forme virtuelle depuis 2018. L’ouverture d’un emplacement pour permettre aux shoppers d’essayer des vêtements de travail était une suite logique à l’enlargement de l’entreprise.

«Ça faisait longtemps que j’y pense, mais après 2020 je me suis dit que c’était le bon second d’ouvrir le commerce pour passer à un autre niveau.» – Louis Corriveau

«C’est bien bon le commerce en ligne, mais dans notre domaine, si t’achètes une paire de bottes à 250$, tu veux probablement l’essayer», renchérit-il.

M. Corriveau prévoit également commencer à vendre aux entreprises montréalaises dès le mois d’avril.

De Thetford-Mines à Montréal

La mère de M. Corriveau dirige l’entreprise de linge de travail la région de Chaudière-Appalaches depuis 1964. Le commerce y existe toujours, mais est maintenant dirigé par François Corriveau, le frère de Louis, depuis 2001.

La nouvelle boutique lachinoise porte le même nom, mais est tout de même une entité différente.

Dans les deux cas, la famille Corriveau encourage les produits locaux et québécois dans la mesure du potential, notamment les marques Motion, Massive Invoice et Royer.

«J’essaie d’encourager énormément les autres entreprises locales et c’est toujours bon quand le pendule revient.»

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