L’école secondaire Antoine-de-Saint-Exupéry a dû accueillir plusieurs centaines d’élèves de plus que ce qui avait été prévu par la Fee scolaire de la Pointe-de-l’Île (CSPÎ).
Selon la projection de clientèle dont TC Media a obtenu copie, la fee prévoyait une diminution de 62 élèves au niveau secondaire sur l’ensemble du territoire de la CSPÎ, pour la rentrée 2016-2017.
Pourtant, à l’école Antoine-de-Saint-Exupéry, il y a eu une augmentation de 20% du nombre de ses élèves.
«La prévision était de 2000 élèves pour Antoine-de-Saint-Exupéry, nous avons eu 400 élèves de plus», affirme le président de la CSPÎ, Miville Boudreault.
L’augmentation du nombre de jeunes dans les courses de l’école n’est pas facile à gérer, selon le directeur de l’établissement, Luc Noël, qui avoue être en fixed recrutement de travailleurs.
«Nous sommes en pénurie de personnel. Les listes d’appel se vident en début d’année et il faut toujours être prêts à remplacer des congés. Nous avons commandé 150 nouveaux pupitres en début d’année en raison de l’augmentation de clientèle et pour des bris et nous devons en recommander», mentionne M. Noël.
Le directeur affirme toutefois avoir vu venir le coup.
«Depuis quelques rentrées, nous avons une augmentation de 100 élèves par année. Nous nous attendons aussi d’accueillir encore une vingtaine de jeunes au cours de l’année, en raison des déménagements en cours d’année et l’arrivée d’immigrants en classe d’accueil.»
Un défi
Cette hausse de la clientèle, qui survient sur tout le territoire de la CSPÎ, est un «beau défi» pour le président de la CSPÎ et le directeur de l’école secondaire.
«L’agrandissement effectué en 2012 nous a beaucoup aidés. Nous avions alors ajouté 20 courses, 800 locations à la cafétéria et des gymnases. Ça nous permet de répondre à la hausse de clientèle actuelle», indique M. Noël.
Toutefois, l’école Antoine-de-Saint-Exupéry arrivera au most de sa capacité au cours de la prochaine rentrée scolaire et il n’est pas query de l’agrandir à nouveau.
«Nous ne pouvons ajouter un étage, automotive le zonage dans notre secteur nous l’interdit. De plus, il ne reste plus d’espace disponible pour agrandir», révèle M. Noël.
La CSPÎ devrait annoncer les mesures pour pallier le surnombre d’ici le printemps 2017.
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