La Mission Old Brewery, qui accueille des itinérants de Montréal, et le CIUSSS Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal ont lancé un appel pour trouver des volontaires prêts à s’impliquer pour les websites qui aident les itinérants positifs à la Covid-19. Ces derniers soulignent un manque criant de main-d’œuvre, alors que presque 500 sans-abris ont été positifs depuis le début de la obscure Omicron.
L’hiver est une saison particulièrement difficile pour l’itinérance, alors que Montréal avoisinera cette semaine les -20 °C, et d’autant plus qu’une cinquième obscure de COVID-19 frappe la province de plein fouet.
«Nous faisons face à toutes sortes de forces négatives, dont la pandémie, l’hiver, la pénurie de main-d’œuvre et des problèmes dans le marché du logement qui sont très difficile à accéder pour des personnes en extrême pauvreté», explique le président et chef de la course de la Mission Previous Brewery, James Hughes.
Besoin de personnel
Afin d’isoler les sans-abri atteints de la maladie, la Mission Previous Brewery ainsi que le CIUSSS Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal ont permis leur accueil à l’hôtel Chrome, situé sur le boulevard René-Lévesque au centre-ville. Pour l’on the spot, l’endroit peut accueillir une centaine de personnes, mais avec plus de main-d’œuvre qui puisse aider en tout temps de jour comme de nuit, la Mission espère pouvoir augmenter cette capacité à 150& locations.
L’organisme aurait donc besoin de recruter rapidement plus d’une centaine de personnes. «On cherche des intervenants, des gens avec de l’expérience avec les personnes en state of affairs d’itinérance et vulnérables, des gens en logistique, du personnel administratif, des brokers de sécurité, des commissions de repas, c’est très giant.», précise le conseiller-cadre aux relations médias du CIUSSS Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, Jean-Nicolas Aubé.
M. Aubé invite toutes les personnes intéressées à appeler le 514-617-4484, ou by way of le website JeContribue.
Plusieurs organismes ont alors pu transférer les cas de COVID-19 vers les deux websites dédiés à l’isolement des cas positifs, à l’instar de la Mission Bon Accueil dans Saint-Henri. L’hôtel Abri du Voyageur a lui aussi été réquisitionné pour accueillir les cas positifs, il a une capacité d’environ 200 personnes.
«Aussitôt que nous avons un cas, il est transféré dans une zone rouge, comme l’hôtel Chrome», indique le président-directeur général de la Mission Bon Accueil, Samuel Watts. Pour l’immediate, l’organisme n’est pas dans une state of affairs critique, avec sept employés de première ligne infectés sur 110. «Je pense que nous sommes chanceux, mais cela ne veut pas dire que nous allons continuer à l’être», ajoute Samuel Watts, qui constate que tous les organismes ne sont pas dans la même state of affairs.
Automotive en peu de temps, l’hôtel Chrome a atteint sa pleine capacité, ce qui a amené plusieurs organismes montréalais pour l’itinérance à mettre en place au sein même de leurs édifices des zones rouges pour isoler les cas positifs, à l’instar du Chaînon ou de CARE Montréal.
Le CIUSSS Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal a annoncé qu’avec l’aide de la Ville de Montréal, le Stade de soccer de Montréal pourra accueillir dès cette semaine des itinérants positifs à la Covid-19. Les personnes isolées à l’hôtel Chrome et l’hôtel Abri du Voyageur, qui a une capacité d’environ 200& locations, y seront transférés. Le stade quant à lui aura une capacité de 320& locations.
L’significance de protéger les sans-abris
Face à la COVID-19, la inhabitants itinérante s’avère souvent plus fragile. «& Les personnes en state of affairs d’itinérance ont 20& fois plus de probabilité d’être hospitalitées à trigger de la COVID-19 & et 10& fois plus d’avoir besoin de soins intensifs& », souligne James Hughes.
Au cours des sept derniers jours, le CIUSSS Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal rapporte 251 cas chez les itinérants, ce qui représente environ 50& cas par jour, alors qu’en janvier 2021 il y avait eu 190 cas pour le mois entier.
«Le meilleur vaccin pour contrer le virus, pour les personnes en state of affairs d’itinérance, ce n’est pas Pfizer ou Moderna, c’est le logement abordable», conclut James Hughes.
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